Lundi 4 avril, le club des employeurs conventionnés de Bretagne et des Pays de la Loire s’est réuni virtuellement autour d'un temps de questions-réponses avec Delphine Bellegarde-Rieu, Directrice territoriale handicap du FIPHFP pour les régions Bretagne et Pays de la Loire.
Un live avec la DTH des régions Bretagne et Pays de la Loire
A cette occasion, Delphine Bellegarde-Rieu est intervenue pour répondre aux questions rencontrées par les employeurs publics dans le cadre de leurs missions : modalités de mobilisation du FIPHFP , engagement de leur convention, de régularisation de leurs actions etc.
Cette rencontre s’est divisée en trois temps :
- Un temps d’ouverture et d’introduction par Tifenn Le Brazidec, Emeline Simondet et Clémentine Michonneau, coordinatrices des Handi-Pactes Bretagne et Pays de la Loire.
- Une intervention de Delphine Bellegarde Rieu sur les évolutions du catalogue des aides du FIPHFP
- Un temps d’échange sur la base de questions-réponses avec la DTH .
Des échanges pour répondre aux interrogations des employeurs publics
Ce webinaire live avec la DTH fut ainsi l’occasion pour la dizaine d’employeurs présents d’aborder toutes leurs interrogations, difficultés, réussites, concernant les aides du FIPHFP et le conventionnement.
Le sujet de la période préparatoire au reclassement (PPR ) a notamment été évoqué à travers le témoignage d’un employeur sur sa difficulté à répondre aux besoins des agents en respectant le délai de 12 mois alors qu’auparavant la durée de 18 mois était privilégiée pour permettre un service le plus qualitatif possible. Le délai d’un an peut en effet s’avérer trop court pour permettre aux agents de faire le deuil de leur ancien métier.
Ce webinaire a également permis d’identifier les leviers et ressources mobilisables, et d’échanger entre pairs notamment sur des situations concrètes avec le FIPHFP et bénéficier de retours en direct.
Une correspondante handicap a ainsi souligné l’efficacité du réseau des référents handicap dans sa recherche de candidats pour un apprentissage. Elle a, en effet, sollicité le réseau des CFA , celui des classes ULIS , ainsi que les référents handicap des grandes écoles et ne pensait pas recevoir un tel nombre de candidatures.