Ce mardi 18 octobre, à l’approche de la 26ème Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées ( ), le a proposé aux employeurs publics de Centre Val-de-Loire une classe virtuelle sur la sensibilisation.
La sensibilisation : comment incarner ce rôle du correspondant handicap ?
L’un des enjeux majeurs du correspondant handicap est d’informer et de sensibiliser l’environnement de travail au handicap afin de favoriser à long terme le recrutement et le maintien dans l’emploi des collaborateurs handicapés.
Les actions de sensibilisations sont précieuses afin de déconstruire les stéréotypes, permettre au collectif de travail de construire de nouvelles représentations et encourager les discours positifs sur le handicap.
La 2022 approchant, l’organisation d’une animation durant cette semaine de sensibilisation au handicap est au cœur des préoccupations actuelles. Mais concrètement, comment animer un atelier ? Comment rendre cette animation dynamique et participative ? Comment innover d’une année sur l’autre ? Comment avoir le plus d’impact auprès des agents ?
Une classe virtuelle pour échanger et guider les correspondants handicap
Cette rencontre en distanciel a ainsi été l’occasion d’évoquer :
- de bonnes pratiques en termes de posture d’animation
- des outils de facilitation (outils digitaux pour susciter de l’interaction par exemple)
- des supports et idées d’animation (jeu digital sur le handicap et l’emploi notamment)
- des exemples de brise-glace pour commencer une animation
- des bonnes pratiques pour poser un cadre de convivialité
Cette classe virtuelle a également permis de préparer l’animation des actions de sensibilisation en :
- partageant des techniques et de bons conseils d’animation.
- informant sur les ressources d’animation déjà à disposition : notamment les jeux digitaux créés par le Handi-Pacte.
- échangeant sur les projets de chacun afin d’imaginer ensemble la meilleure manière de les animer.
Une classe virtuelle très appréciée des participants.
« Cela m’a conforté dans ma pratique actuelle lors des sensibilisations et cela m’a aussi permis de questionner (…) mes contenus et clôtures d’animation. »
Une participante à la classe virtuelle